Les absents ont toujours tort
Obligé de m’absenter vendredi dernier.
Mauvais plan : le vendredi est le jour le plus difficile de la semaine. Les enfants sont tous très excités en ce moment. De plus la collègue malade n’est toujours pas remplacée et une autre collègue est également absente. Je gère de loin : merci les portables.
De retour le samedi matin : c’est la cour des récriminations : tout le monde se plaint de la journée de la veille : les femmes de service de la cantine pour lesquelles il n’y avait pas d’enseignant, les collègues pour les élèves qu’ils ont eu à garder et qui ont mis le bazar, les intervenants qui n’ont pas trouvé leurs élèves, etc… Et pour couronner le tout, il n’y avait plus café, ni thé, ni sucre… La fin du monde !
J’avais pourtant passé une journée à peu près tranquille à ne pas avoir à répondre à mille sollicitations qui vous font passer la journée et vous retrouvent le soir à se demander à quoi on a bien consacrer son temps.