Le projet d’école et les projets de l’école

Difficile d’inclure les uns dans l’autre et inversement.

D’autant plus que nous n’avons plus le choix des axes. Enfin pour être juste, un choix restreint : trois axes à prioriser sur quatre propositions

Enfin, nous y voilà. Après une petite demi-heure consacrée au choix de ces axes la semaine dernière , nous avons réussi à nous réunir mardi soir pour avancer un peu. Tout le monde était là pour les enseignants. C’était moins vrai pour le réseau d’aide. Mais difficile pour eux qui sont sur plusieurs écoles : 7 écoles pour la psychologue : environ 2 000 élèves, quatre écoles pour la rééducatrice ( 1150 élèves) et trois pour les deux maîtresses d’adaptation ( 1 000 élèves) . Impossible  d’être partout…

Personne n’avait envie de vraiment s’impliquer dans l’écriture de ce projet, surtout un mardi soir. Tous considéraient, sans vraiment le dire, que cela était peut-être inintéressant, voir réservé au directeur.

Comment impliquer les uns et les autres ?

     Pour l’analyse des points forts et des points forts, j’avais eu recours, la semaine dernière, à une technique bien connue : un tableau, deux colonnes et chacun vient écrire quand il le souhaite une idée au tableau. Le choix se fait ensuite collectivement. Ca avait bien marché.

       Pour les objectifs à définir et les actions à mettre en place, j’ai préparé des feuilles à emplir et je propose de travailler en trois groupes de cinq constitué tous d’un cp, un ce1, un ce2, un cm1 et un cm2. ce qui oblige à travailler avec des partenaires inhabituels.

     Trois quarts d’heure de travail et une mise en commun. Les rapporteurs joueront leur rôle( ce sont les plus jeunes qui s’y colleront) et nous arriverons assez vite à établir des objectifs clairs, réalisables et de faire le catalogue des actions qui y correspondent : les existantes et les nouvelles. Le tout dans les trois heures prévues. Il ne nous reste plus qu’à rédiger les fiches actions et ce sera fini. Ouf…

Le plus important sera de le faire vivre au long de ces trois années.

Reste un soucis : de nombreux projets de classe et d’école ne rentrent pas dans le cadre. Evidemment, rien dans ces axes sur la citoyenneté, les enseignements artistiques et sportifs et l’implication des parents : toutes choses sur lesquelles nous travaillons intensément depuis trois ans. Nous n »’allons pas nous arrêtre en si bon chemin. D’autant plus que nos résultats en hausse ne peuvent que nous encourager à continuer dans cette voie.

Les papiers sont une chose et la réalité de terrain une autre.

Ohé là-haut, vous regardez un peu en bas de temps en temps ?